LES COUTEAUX

Couteaux de chef, cuisine...
Parce que le tranchant parfait s’apprécie tous les jours…
Couteaux abimés, fusils torturés et doigts massacrés… pour un couteau qui ne coupera pas mieux, l’art du fusil est révolu, les alliages changent, les techniques évoluent et l’exigence est de mise.
Les professionnels sont très exigent sur l’aiguisage de leurs couteaux (usage quotidien et intensif) ainsi que les particuliers et nous sommes fier de pouvoir travailler avec eux depuis des années (chefs, bouchers, poissonniers, fromagers, volaillers, traiteurs…) tous nous font confiance et nous leur rendons en leur livrant toujours un matériel aiguisé à la perfection.

L’aiguisage couteau japonais :
L’art d’aiguiser des sabres de samouraïs a une longue tradition au Japon, qui atteint la perfection. Leur technique guerrière basée sur des armes de taille a rendue culte la notion de tranchant, les sociétés qui produisaient autrefois ces sabres d’étant reconverties dans la production de couteaux de cuisine. Preuve qu’on y attachait une importance particulière, deux termes illustrant cette obsession : « Lirehaga » pour qualifier la longévité du tranchant et « Amagiré », ce qui peut être traduit par « coupe douce ». L’entretien du tranchant par un professionnel reconnu est un passage obligé, facilité pour les couteaux japonais en raison de leur angle moins prononcé, à condition de respecter quelques consignes. Nous déconseillons l’emploi de fusils pour les couteaux, ceux-ci ayant tendance à détruire le fil et étant difficiles d’emploi (pas de repère longitudinal). Comme nous l’ont montré de récents tests une des particularités du couteau japonais est que l’affûtage d’usine déjà performant en soi peut encore être amélioré dans le temps selon la dextérité de l’artisan aiguiseur au moyen d’une pierre à aiguiser haute performance. Nous réalisons également cet aiguisage japonais et traditionnel pour un grand nombre de restaurant japonais, chefs étoilés et passionnés de couteaux d’art.